GLOCK
LAISSEZ MOI VOUS RACONTER UNE HISTOIRE
L’HISTOIRE DE GLOCK
Gaston GLOCK, le Tonton flingueur, fonde GLOCK en 1963 avec son épouse de l’époque Helga.
Créateur du modèle mythique vendu à 7 millions d’exemplaires (dont les 2/3 aux US), il crée l’entreprise familiale mondialement connue.
Voulant développer leur business, Gaston GLOCK, appuyé de sa femme Helena, fabriquait alors pour l’armée Autrichienne des couteaux, quand en 1980, ils apprirent que l’armée australienne lançait un appel d’offre pour un nouveau fournisseur d’arme.
Ce tonton flingueur révolutionne le milieu des armes en proposant alors un petit calibre abordable et surtout durable sur le long terme.
En 1982, une fois le brevet déposé, il s’impose en leader sur le marché de l’époque avec ses caractéristiques clés qui font de lui le précurseur de sa génération :
- Un pistolet malléable et surtout très facile à démonter ;
- Léger et une bonne prise en main, et recul réduit de la culasse en raison de la souplesse du matériau (polymère) ;
- Pas d’oxydation ;
- Capacité plus importante de tir 17 vs 6 à l’époque ;
- Cadence de tir plus rapide ;
- Un très bon rapport qualité prix en raison du coût de fabrication peu élevé (une carcasse principalement en plastique hormis le canon) ;
- Mécanisme de fonctionnement simple ;
- User friendly et particulièrement attrayant pour les milieux sécuritaires en raison de sa capacité de dissimulation.
C’est la naissance officielle du GLOCK 17, conçu pour les forces militaires.
Malgré les craintes initiales sur la fiabilité et sur la durabilité en raison du “pistolet en plastique”, ces inquiétudes se sont avérées infondées. Avec une déclinaison de pistolets semi-automatiques à culasse fixe, ayant peu de recul, avec une carcasse en polymère, Glock devient incontournable.
En effet, Glock devint l’entreprise la plus rentable sur ce type de produits.
Ils fournissent depuis les forces armées dans pas moins de 60 pays. Ils sont également populaires parmi le marché civil avec le tir de loisir et compétition ainsi que la défense et l’auto-défense.
Mais que se cache-t-il derrière la mention 17 du GLOCK 17 ?
Plusieurs échantillons du GLOCK 17 de 9×19 mm ont été soumis à des tests d’endurance, évaluation nécessaire avant d’être validés. La mention 17 correspond au 17 brevets obtenus par la société.
Ce ne sont pas les seuls, ce petit bijou en polymère et métal est devenu également la coqueluche de tous les milieux.
Ainsi, nombreux sont ceux qui n’hésitent pas à mentionner son nom, son usage ou son image dans la culture populaire (film, clip vidéo, série TV).
On peut le retrouver dans certains films emblématiques tels que :
- DIE HARD
- US MARSHALS
- HANNIBAL
- SCREAM 2
- LE FUGITIF
- SAW
- MATRIX RELOADED
- TRANSFORMERS
- LARGO WINCH
La légende urbaine voudrait que le Glock 17 soit indétectable aux portiques dans les aéroports. On le retrouve également dans de nombreux Jeux vidéo tels que Battlefield 3, Resident Evil, Swat 4, Code Veronica, the Getaway.
Capable de passer de semi à full automatique, le GLOCK 18 fait partie des pistolets mitrailleurs sur le marché. Compacte par sa taille, il permet néanmoins de tirer à plus de 1 100 coups par minute.
STORY TIME : Le tonton flingueur contre le tueur à gage
« Les dessous d’une sombre histoire de détournement de fonds – Acte 1 – »
Malgré son succès, Gaston Glock subit les revers de son succès. Ainsi, comme les plus grands JFK, il subit une tentative d’assassinat en juillet 1999 au Luxembourg. La raison de cette attaque, la dissimulation d’un détournement de la société estimé à plusieurs millions de dollars. On parlerait de 100 millions d’euros.
Commandité par l’ancien conseiller fiscal de Gaston Glock, Charles Ewert, furieux d’avoir été écarté de l’entreprise décide d’engager un mercenaire de nationalité française pour assassiner Glock à coups de marteau dans un parking.
Malgré de nombreuses blessures notamment à la tête, ainsi que la perte de sang, Glock réussi toutefois à maîtriser l’attaque en frappant le tueur à gages à plusieurs reprises.
Le tueur à gages prénommé Jacques Pêcheur, 67 ans, a quant à lui, été condamné à 17 ans de prison. Tandis que la tête pensante Charles Ewert a lui été condamné à 20 ans de prison suite au témoignage de Jacques Pécheur.
